Des origines du grade de maître dans la franc-maçonnerie

Goblet d'Alviella nous apporte ici les réponses essentielles aux questions sur la Philosophie du troisième degré, sur son approche ésotérique et historique. En 1730, pour les membres de la Grande Loge, Maître et Compagnon étaient encore synonymes ou se rapportaient à un même degré. A partir de cette date, on observe des Loges qui s'en tiennent aux deux degrés et des Loges qui en pratiquent un troisième. Lee Vernon rapporte, dans ''The History of the Lodge of Kelso'', que, le 7 juin 1754, les membres de cette Loge se réunirent pour recevoir Compagnons un certain nombre de candidats, conformément aux nouvelles méthodes introduites dans les Loges d'Edimbourg . Le procès-verbal ajoute que les Frères constatèrent comme une lacune essentielle de leur Constitution que cette Loge avait seulement la pratique des deux degrés : Apprenti et Compagnon, ne connaissant rien du degré de Maître... . En effet, à cette époque, les droits respectifs des Maîtres et des Compagnons diffèrent suivant les temps, les localités et les métiers. Et la distinction des Compagnons et des Maîtres n'était pas affirmée partout. Docteur en droit, en philosophie et lettres et en sciences politiques, l'auteur fut initié dans la loge ''Les Amis Philanthropes'' à Bruxelles dont il fut le Vénérable Maître de 1879 à 1882. En 1894, la loge se scinde. Le 15 janvier 1895, il est élu Premier Vénérable Maître de la nouvelle loge et devient en 1900 Grand Commandeur du REAA. Les ouvrages de cette maison d'édition sont publiés en corps 16.

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